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vendredi 31 août 2007

Verrine de perles du Japon à la vodka, avocat et saumon



J'avoue que j'utilise beaucoup mes verrines de chez Quartz depuis mon achat : je trouve que ça donne de l'allure à la moindre recette de salade un peu basique. La recette présentée ici vient initialement du très joli livre sur les verrines de José Maréchal dans la collection Marabout, que j'ai un peu customisée en ajoutant des baies roses et de la vodka (vous allez finir par me prendre pour une ivrogne, avec le rhum dans le poulet, le marsala dans le roulé de dinde et le cognac dans le cocktail de fruits de mer). Mais attention, en ajoutant de la vodka mieux vaut déguster tout de suite ; garder la verrine risquerait de détremper l'ensemble de la préparation... Le reste peut se préparer à l'avance, c'est même mieux pour que les saveurs se marient bien.


Pour 4 verrines moyennes :

- deux tranches de saumon fumé,
- un citron,
- un avocat,
- deux cuillérées à soupe de fromage blanc (j'utilise toujours du Taillefine 0% qui est très lisse et pas du tout acide),
- trois cuillérées à soupe de perles du Japon (tapioca) bien bombées,
- trois cuillérées à café de vodka, de préférence parfumée au poivre ou à l'herbe de bison,
- une pincée d'aneth pour la décoration,
- une cuillérée à soupe d'huile d'olive,
- une cuillérées à café de baies roses,
- sel et poivre.

Pour la couche au saumon : trancher en fines lanières le saumon. Concassez, de préférence au pilon, les baies roses. Faites mariner dans une assiette le saumon émincé dans l'huile d'olive et les baies roses au réfrigérateur pendant que vous préparez les autres couches.

Pour la crème d'avocat : coupez en deux l'avocat, enlevez le noyau et récupérez la chair à la petite cuillère. Placez dans le bol d'un robot avec le fromage blanc et le citron, le sel et le poivre. Mixez assez longuement pour obtenir une crème onctueuse. Réservez au réfrigérateur.

Pour la couche de tapioca : faites bouillir de l'eau dans une casserole. Versez en pluie le tapioca et laissez cuire jusqu'à ce qu'il devienne transparent (soit environ 20 minutes). Egouttez dans une passoire fine et rincez à l'eau froide pour arrêter la cuisson. Réservez au réfrigérateur.

Juste au moment de servir, versez la vodka dans le tapioca et mélangez bien ; dressez les verrines, en alternant une couche de saumon, une couche d'avocat, une couche de tapioca, dans l'ordre que vous voulez. Ici j'avais commencé par du tapioca, puis saumon, puis avocat, puis la fin du tapioca. Finissez avec quelques pluches d'aneth pour la déco. C'est très frais, raffiné, et gai à l'oeil !

mercredi 29 août 2007

Les recettes faciles et rapides du soir (8) : tagliatelles à la mâche



Cette recette ne paie pas de mine, mais pourtant, la mâche cuite, ça le fait ! Dix minutes de préparation, le temps de cuire les pâtes, et zou, à table. Avec un repas complet, ou presque : des sucres lents avec les pâtes, des fibres et des vitamines avec la mâche, des protéines avec le lard maigre (ou le jambon de pays), et un produit laitier avec la crème fraîche ! Le tout en se régalant. Qui dit mieux ? Et c'est encore une fiche cuisine de Elle millésime 1997 ou des brouettes (on ne se refait pas).

Pour 4 personnes :

- 600 à 900g de tagliatelles fraîches (à défaut, 250 à 350g de tagliatelles sèches),
- 250g de mâche,
- 2 cuillérées à soupe de crème fraîche,
- 100g de lard fumé maigre, ou mieux de jambon de pays,
- poivre (et sel si vous y tenez).

Rincez soigneusement et égouttez la mâche. Si vous utilisez du lard, faites-le dorer puis réservez sur du papier absorbant. Si vous utilisez du jambon (à propos, j'en trouve du très bon bio de la marque Bonneterre), coupez-le simplement en fines lanières.

Faites bouillir de l'eau (salée éventuellement) dans une casserole et faites cuire les pâtes al dente suivant le temps de cuisson indiqué.

Pendant ce temps, émincez la mâche. Faites chauffer la crème fraîche dans une petite casserole, incorporez la mâche, poivrez.

Quand les tagliatelles sont cuites, égouttez-les et servez nappées de sauce à la mâche et des tranches de lard (ou de jambon).

Je vous assure, c'est délicieux !!!

PS : je suis moins bavarde en ce moment... car mon ordi fait des siennes et je squatte celui de mon Titi. Mais bon, ce n'est peut-être pas plus mal pour vous !!!

lundi 27 août 2007

Amuse-bouche de hareng, pomme et noix en curry



Cette mini-verrine est née de plusieurs inspirations... D'une part, l'alliance classique pomme et hareng, la douceur de la première nuançant l'acidité du second ; d'autre part la traditionnelle salade Waldorf américaine, qui aurait été inventée dit-on dans l'hôtel new-yorkais du même nom, et qui marie la pomme, la noix et le céleri. Je voulais partager avec vous un extrait d'American Psycho de Brett Easton Ellis qui évoque cette fameuse salade, mais impossible de remettre la main sur le livre !!! Ce sera pour une révision ultérieure de ce post... Les proportions que je vous donne sont pour 4 mini-verrines, en amuse-bouche, mais en doublant les proportions vous avez une belle entrée.

Pour 4 personnes (mini-verrrines apéritives) :

- une pomme type Granny Smith ou Pink Lady si vous aimez les fruits plus sucrés,
- deux filets de hareng préparés en roll-mops,
- une branche de céleri,
- une poignée de noix décortiquées,
- trois cuillérées à soupe de fromage blanc,
- une cuillérée à café de curry doux de préférence,
- une cuillérée à café d'huile neutre (ou colza pour moi).

Lavez et épluchez la pomme. Coupez-la en tous petits dés. Procédez de même avec le céleri, les harengs. Mélangez intimement les trois dans un saladier. Ajoutez les cerneaux de noix grossièrement concassés. Dans un bol, préparez l'assaisonnement. J'ai donné des proportions indicatives, mais à vous de voir suivant la force de votre curry ! Versez la sauce sur la salade, mélangez bien, puis versez dans vos mini-verrines et réservez au frais jusqu'au moment de servir.

samedi 25 août 2007

Bonbons croustillants de figue fraîche et crème de pistache (pour Lavande)



Lorsque je vivais à Toulouse, je pouvais me régaler des figues du figuier de mes grands-parents, tout juste cueillies sur l'arbre, et mielleuses à souhait, un vrai régal. A Paris j'ai plus de mal à trouver de bonnes figues vertes comme celles-là, les figues noires, souvent d'importation j'ai l'impression, sont plus fréquentes. Mais enfin cette semaine, alors que la figue fraîche est à l'honneur chez Lavande de Ligne et Papilles, j'ai eu la chance de tomber sur des figues vertes bien mûres au supermarché bio. Chouette alors !


Je prépare régulièrement la recette qui suit depuis une douzaine d'années. C'est une recette créée par le chef Philippe Detourbe, dont j'ignore s'il officie encore mais qui à l'époque offrait un épatant menu surprise dans son restaurant du 15ème arrondissement de Paris. J'avais eu la chance d'y dîner pour fêter un mariage et c'était vraiment bon. La recette originelle allie en fait la datte et la crème d'amande, qu'il servait avec une glace au pain d'épices ; elle est absolument délicieuse aussi. Je vous invite à faire les deux ! Figue et pistache ou datte et amande, de toutes les façons, c'est plutôt à prévoir pour clore un dîner très très léger, car c'est un dessert pour le moins consistant. Si vous avez encore très faim vous pouvez doubler les quantités et confectionner deux bonbons par personne, mais ça me paraît beaucoup. Enfin, tout dépend du repas avant...


Pour 4 personnes :
- 4 feuilles de filo,***
- 4 figues fraîches,
- 1 cuillérée à soupe de miel,
- 1 petit oeuf,
- 3 cuillérées à soupe de sucre (j'utilise du rapadura),
- 3 grosses poignées de pistaches non salées,*****
- 25g de beurre mou.

*** pour cette recette les feuilles de filo qui sont plus maniables que les feuilles de briks, et donnent un croustillant différent, sont vraiment plus adaptées. Je trouve les miennes chez Monoprix, et Scally de C'est moi qui l'ai fait avait également donné cet été une adresse parisienne pour en trouver.

***** mes pistaches viennent de chez G. Detou - et d'Iran. A noter que j'ai vu récemment un paquet de 500g, alors que quand j'ai acheté mes pistaches il n'y en avait qu'en 1kg !!! Bon à savoir...


Lavez et essuyez soigneusement les figues. Si elles sont peu renflées, coupez-les simplement en deux, si elles sont plus rondes, coupez-les en quartier. Mettez-les dans un bol avec une cuillérée à soupe de miel et mélangez. Laissez mariner un peu.

Pendant ce temps, réduisez en poudre vos pistaches au robot ménager. J'avais commencer à concasser les miennes au pilon pour ne pas fatiguer mon appareil, mais en fait ça ne semble pas nécessaire. Mixez jusqu'à obtenir une poudre la plus fine possible.

Préparez la crème de pistache en mélangeant dans un bol la poudre de pistache, l'oeuf, le sucre et le beurre ramolli. Mélangez intimement et réservez.

Un peu avant le dessert, préparez les bonbons. Prenez une feuille, pliez-la en quatre, en la pliant d'abord dans le sens le plus large, puis dans l'autre. Placez sur le bord du côté le plus long les tranches de figues fraîches, et recouvrez-les généreusement de crème de pistache. Puis roulez la feuille pour obtenir un cylindre fermé, et pressez les bords pour obtenir une forme de bonbon. Bon, la chose en images :






Mettez du beurre ou de l'huile d'olive dans le fond d'une poêle et chauffée. Quand la poêle est bien chaude, faites-y rissoler les bonbons sur tous les côtés. Quand les bonbons sont bien dorés et croustillants, servez sans attendre, avec une boule de glace si le coeur vous en dit. Vous pouvez également cuire ces bonbons au four chaud, thermostat 7 ou 8, pendant 10 minutes, après les avoir badigeonnés d'huile ou de beurre fondu. La cuisson sera plus homogène et plus jolie. Bon appétit !


mercredi 22 août 2007

Poulet rhum miel citron - rum, honey and lemon chicken



Aujourd'hui, encore des trombes d'eau sur Paris... Je me suis vengée en achetant encore un potimarron, et je vise les énoooormes butternutt des Nouveaux Robinsons, une chouette moyenne surface bio de Montreuil, pour quand nous aurons des invités. Je n'ose pas encore y aller avec un appareil photo, mais si vous habitez l'est de Paris, ce magasin vaut vraiment le détour !**** Notamment parce qu'on peut y acheter des zillions de types de riz, blés, de la quinoa, des cerneaux de noix, des graines variées, etc... au poids. Mais en fait tous les rayons sont assez incroyables, et j'y passe assez facilement ma pause déjeuner à examiner tous les produits que je ne connais pas encore. A noter : ces magasins ont été créés sous forme de coopératives, et ils proposent un certain nombre de produits à marge réduite de façon à mettre le bio à portée de toutes les bourses. Sympa, non ?

La recette qui suit n'a rien de particulièrement bio... C'est une de mes recettes fétiches, tirée d'un petit bouquin "Savoir préparer la cuisine américaine", d'une collection à 10 francs (ça nous rajeunit pas) acheté quand j'étais étudiante, la collection "Idées recettes". Si vous aimez le sucré salé, elle est pour vous !

****Euh, si vous habitez l'ouest aussi d'ailleurs, le site internet m'apprend qu'il y a deux magasins à Neuilly et Boulogne.


Pour 4 à 6 personnes :

- un poulet,
- 15g de beurre ou de margarine végétale spéciale cuisson,
- 10cl de rhum ambré,
- 10cl de jus de citron,
- 10cl de miel,
- sel et poivre.

Préchauffez le four thermostat 200°C.

Découpez le poulet en six morceaux. Ou faites le faire par votre boucher, encore mieux ! je suis partisane du moindre effort. Enduisez les morceaux de beurre (ou de margarine spéciale cuisson), salez et poivrez. Déposez les morceaux de poulet dans un plat allant au four, côté peau dessous.

Mettez à cuire pendant 20 minutes, la peau doit être dorée. Retournez les morceaux et remettez à dorer 20 minutes.

Pendant cette cuisson, mélangez dans un bol le rhum, le jus de citron et le miel. Lorsque le poulet est bien doré sur tous les côtés, versez régulièrement des cuillères de cette sauce sur le poulet, tout au long du temps de cuisson restant, soit 20 minutes environ. Quand le poulet est bien cuit, éteignez le four, versez la sauce récupérée du plat dans une casserole, et faites-la réduire jusqu'à obtenir environ 10cl de sauce. Laissez le poulet au four pendant la réduction. Quand la sauce est prête, versez-la sur le poulet et servez ! Délicieux avec un mélange de riz, par exemple. Des riz que vous aurez trouvés aux Nouveaux Robinson ou ailleurs...


lundi 20 août 2007

Papillotte de deux poissons et fenouil en marinade d'agrumes



Ce matin, je discutais avec un agriculteur, bientôt en retraite, qui me disait que jamais, de toute sa vie d'éleveur, il n'avait vu un été avec quatre mois consécutifs de mauvais temps, froid, pluie, comme celui que nous vivons en ce moment. Nous nous faisions la réflexion que le mois d'avril avait été si chaud, si sec, que tout le monde craignait avec angoisse une canicule pire que celle de 2003. Qui aurait pu prévoir que la canicule serait pour l'est de l'Europe, et que l'ouest subirait un temps automnal, voire des inondations ? Trop de pluie ou pas assez, de toutes les façons les récoltes sont compromises.

Bref, tout ça pour dire que je n'aurais guère cuisiné de plats d'été cette année. A l'heure où je vous écris (lundi soir), un velouté de potimarron mijote tranquille, j'ai préparé de la farce à la viande pour des briks... Que des plats bien chauds et réconfortants ! Ces jours-ci, il y a aussi eu au menu une épatante papillotte de poisson au fenouil, tirée encore et toujours de mon livre signé Sandra Mahut. La voici, légèrement customisée comme il se doit.

Pour 4 personnes :

- 500 à 600g de mélange nordique de chez Picard (saumon et poissons blancs), décongelé d'avance,***
- un gros bulbe de fenouil,
- une cuillérée à soupe de graines de fenouil,
- un oignon saucier moyen,
- 4 cuillérées à soupe d'huile d'olive,
- 3 cuillérées à soupe de jus d'orange,
- une cuillérées à soupe de jus de citron,
- une pincée de piment d'Espelette,
- sel et poivre.

*** Sinon, des filets de saumon et de julienne, que vous couperez en gros cubes.

Préchauffez votre four à 180°C. Préparez une marinade avec l'huile, les jus de citron et d'orange, le piment, le sel, le poivre et les graines de fenouil. Emincez en fines lamelles le bulbe de fenouil, ainsi que l'oignon. Mélangez intimement le poisson, le fenouil et la marinade, et laissez reposer au frais 30 minutes.

Au bout de ce temps, mettez poisson et fenouils dans 4 papillottes, refermez-les avec soin, et faites cuire sur une plaque au four pendant 15 minutes. Je triche un peu, je cale mes papillottes dans un plat pour être tranquille...

Mon innovation dans cette recette a consisté à ajouter les jus d'agrumes dans la marinade, de façon à retrouver un peu le goût d'un confit de fenouil dégusté avec un filet de maquereau en croûte de noisettes au restaurant l'Epi Dupin à Paris. Poisson et fenouils ainsi marinés vont très bien ensemble !

samedi 18 août 2007

Salade de tomates aux accents vanillés


La première fois que j'ai vu cette fiche cuisine de Elle, je me suis dit qu'elle allait vite partir à la poubelle... En effet je trie impitoyablement mes fiches cuisine, sinon à raison de quatre nouvelles par semaine - d'ailleurs c'est pour cela que je n'achète jamais Elle à table, ça ferait trop de fiches d'un coup ! - la cuisine serait vite envahie. J'ai donc établi un "screening process", qui consiste à jeter tout de suite :

- les recettes qui ne me tentent pas du tout, genre morue aux fraises, ou tarte aux rillettes. Oui, je sais, si ça se trouve je passe bêtement à côté de quelque chose d'orgastique, mais bon, les goûts et les couleurs, n'est-ce pas...

- les recettes qui me découragent d'avance, parce que dans la liste des courses il y a des trucs dont je n'imagine même pas à quoi ça peut ressembler, ou qu'il faut des ustensiles inconnus au bataillon, ou encore s'y prendre une semaine à l'avance pour commencer la recette, ou accomplir tellement de choses pour parvenir au résultat que les bras m'en tombent. Dans la catégorie entrent bien sûr pas mal de recettes de chefs.

- les recettes "foutage de gueule", du genre l'omelette aux oignons (où, je vous le donne en mille, il faut des oeufs et des oignons ! L'hallu !) ou la tartine de beurre. Paradoxalement on trouve dans la catégorie pas mal de recettes de chefs aussi : je ne donne pas de nom mais... franchement la recette de la purée jambon, il fallait oser.


Une fois passée cette première étape de validation, la fiche cuisine entre au purgatoire des fiches "à tester", qu'elle quittera le jour où, après essai, soit elle rejoindra la pile des recettes "à garder et à refaire", soit elle finira à la poubelle parce que pas terrible ou trop compliquée pour le plaisir retiré de la dégustation.

Quand j'ai vu cette fiche donc, j'ai eu des doutes, je la voyais bien en "foutage de gueule"... Mais j'ai fini par la garder (une recette que Frédérick Grasser-Hermé a créée pour Alain Ducasse, quand même...), par la tester hier soir après avoir enfin trouvé de belles tomates anciennes, et ma foi je suis conquise !


Pour 6 personnes :

- 8 tomates bien mûres, de préférence de couleurs variées,
- une belle gousse de vanille,
- trois cuillérées à soupe d'huile d'olive douce,
- une cuillérée à soupe de jus de citron,
- une cuillérée à café de vinaigre de vin,
- une cuillérée à café de fleur de sel.

La recette prévoyait de la ciboulette ciselée pour parsemer à la fin, mais j'ai préféré m'en passer. Elle indiquait également d'utiliser de l'huile d'olive parfumée au citron, et non de l'huile et du citron, mais je n'en avais pas.

Préparez la vinaigrette vanillée : fendez la gousse, grattez-en les graines que vous mettrez dans un bol. Ajoutez l'huile, le citron (ou l'huile au citron), le vinaigre, et le sel. Emulsionnez bien et laissez macérer. J'ai pour ma part ajouté aussi les morceux de gousse, car celle que j'avais choisie n'était pas très fournie en graines (c'est difficile, on n'est pas dans la gousse...).

Lavez et essuyez les tomates, et coupez-les en minces quartiers. La recette indiquait de couper en huit, mais j'ai préféré faire de plus fines tranches pour me rapprocher d'un carpaccio. Répartissez les tomates dans les assiettes de façon décorative, puis versez la vinaigrette dessus pour faire un fin glacis. Servez ! Le goût de la tomate et celui de la vanille se marient très bien. Voilà de quoi bousculer un peu la tradition...

vendredi 17 août 2007

Bravo les filles !

Et oui, vous l'avez bien deviné, l'arbre que je vous montrais dans un précédent post est un kiwi, ou actinidia ! Et je le prouve en images : à gauche, celle que vous aviez vu, à droite un gros plan sur les fruits.




Cela paraît difficile à croire, mais en fait ces fruits déjà bien gros n'atteindront leur maturité et ne seront présents sur nos étals que vers octobre ou novembre. Les fruits que vous achetez aujourd'hui viennent certainement de l'hémisphère sud, Chili ou Nouvelle-Zélande notamment. Pour en finir avec la minute de l'arboriculteur, précisons que la France en est le quatrième producteur mondial derrière l'Italie, la Nouvelle-Zélande et le Chili. La production française se concentre dans les régions du Sud-Ouest, soit Aquitaine et Midi-Pyrénées, et notamment dans les départements voisins de Lot-et-Garonne (préfecture... Agen !) et Tarn-et-Garonne, mais aussi dans les Landes. La Haute-Corse est le principal département producteur - mais il n'y en a pas en Corse du Sud, bizarrement.


Bon, j'arrête avec les Nouvelles des Marchés, pour vous offrir, non pas une recette, ce sera pour ce week-end, mais une photographie d'un tartare kiwi tomate, une création originale et réussie de Lavande de Ligne et Papilles, et la recette est ici. Joli et appétissant, non ?


mercredi 15 août 2007

Faites votre tarama vous-même !


J'aime beaucoup le tarama, mais je trouve que celui qu'on trouve dans le commerce, avec son colorant rose, ses additifs et sa faible proportion d'oeufs de cabillaud, n'est quand même pas le top. Celui trouvé en magasin bio est généralement meilleur, pas de colorant, plus fort en goût, on s'approche du vrai, et le top c'est celui qu'on achète chez Pétrossian, pas au prix du caviar heureusement, mais ce n'est pas donné tout de même ! Bref, le mieux, c'est encore de le faire soi-même...


Sur la blogosphère, j'ai vu que Un an pour faire son cooking-out a partagé avec vous sa recette de tartinade aux oeufs de mérou, et Le blog gourmand a également mis une recette, plus proche de la mienne. Je vous livre quand même ma recette, car elle me semble plus légère.


Pour obtenir environ 300 à 400g de tarama (désolée, pas de balance, donc je ne peux être précise !)

- une poche d'oeufs de cabillauds *****,
- une cuillérée à soupe de jus de citron,
- une faisselle de fromage blanc bien égoutté, ou deux petits suisses, ou à défaut 100g de fromage blanc lisse,
- une tranche de pain de mie, voire deux si votre fromage blanc est assez liquide.
***** Je trouve des poches d'oeufs de cabillauds dans mon Monop', au rayon des poissons fumés, taramas industriels, rillettes de poisson, etc. En général elles font de 200g à 300g. Préférez la version nature si vous trouvez, en ce moment ils en ont du fumé au bois de hêtre et je trouve que le goût est un peu âcre. Sinon, vous pouvez en acheter sur des sites internet, comme Natoora, qui est très fiable et pratique pour les commandes.


Préparez les oeufs de cabillauds. Pour cela, épluchez la pellicule qui recouvre les oeufs et forme la poche. C'est fastidieux mais pas difficile.

Emiettez soigneusement le pain de mie, sans la croûte. Si vous n'en avez pas, vous pouvez aussi utiliser du pain rassis, mais il faudra alors le faire tremper quelques secondes dans du lait ou de l'eau puis bien le presser pour l'essorer, c'est plus risqué. Car c'est plus difficile dans ce cas de maîtriser le degré d'humidité du produit final.


Placez les oeufs dans un robot avec le pain de mie, la faisselle (ou petits suisses) et le jus de citron. Mixez à la vitesse la plus lente, et pas longtemps pour ne pas trop casser les oeufs et liquéfier la préparation. Gouttez, et rectifiez l'assaisonnement à votre goût. Pour ma part je mets très peu de citron car ça masque trop le goût des oeufs sinon, et je ne poivre ni ne sale.


Laissez reposer quelques heures au réfrigérateur avant de servir. Les saveurs seront plus unifiées et la consistance plus ferme.


Cette recette m'a été donnée par un copain arménien (comme Pétrossian donc !), elle est donc plutôt authentique je pense. Attention c'est très fort en goût, vous serez surpris si vous avez l'habitude des taramas industriels !

Question : est-ce que financièrement ça vaut le coup par rapport à l'industriel ??? Et bien je dirais oui et non. Si on compare strictement le prix / coût de revient au kilo, on trouve des taramas industriels entre 10 et 20 euros le kilo en grande distribution, et celui-ci revient à environ 25 euros le kilo si vous adoptez mes proportions. Mais dans un cas, vous avez entre 20 et 30% max d'oeufs de cabillaud dans la préparation, plus des additifs variés, et dans l'autre près de 70% d'oeufs de cabillaud. Donc ce n'est pas vraiment comparable, mais en terme de rapport qualité prix, le fait maison est largement gagnant !

lundi 13 août 2007

Mon fondant au chocolat pour Mamina ( et toujours la devinette)




Je suis déçue, à part Elo, personne n'a tenté de deviner quel était l'arbre photographié sur mon précédent post ! Bon, la devinette reste ouverte, je donnerai la réponse en fin de semaine. Indice supplémentaire : ses fruits sont comestibles...

Bon, à part ça, Mamina, du blog Et si c'était bon, nous a demandé de lui donner notre recette de gâteau au chocolat, ce qui tombe plutôt bien puisque j'ai découvert, à mon grand étonnement, que depuis trois mois que ce blog existe, je n'avais encore jamais posté la moindre recette chocolatée ! Or, si je préfère les desserts à base de fruits, je ne boude pas mon plaisir devant un carré, et Titi en est très fan, donc je fais volontiers des desserts au chocolat : mousse classique, risotto au chocolat (je l'adore, promis je poste la recette un de ces jours), mais aussi des recettes de blogueuses. Et même pas mal depuis que j'ai découvert la blogosphère...

J'ai ainsi testé avec grand bonheur le fondant 0% de complexe de Lavande de Ligne et Papilles (la photo orne mon questionnaire récent), et les darioles (moelleux au coeur coulant) de Mercotte, absolument tip-top. J'ai surtout rangé dans un coin de ma tête (et de mon compte blog-appétit) plusieurs autres recettes qui m'ont l'air alléchantes :

- le fondant des frères Delacourcelle, grâce aux éloquentes photos de Bergamote, de Sucrissime, ou de Folfil, de Fofil cuisine... Dommage, pas de piles dans la balance que je n'ai jamais utilisée, restant fidèle à mon verre doseur, donc ce n'est pas demain que je réalise une recette avec exactement 166g de beurre et 134g de sucre semoule, mais qui sait ?

- le brownie cheesecake de Loukoum de Beau à la louche, aux séduisantes arabesques noires et blanches... et aux proportions nettement moins affolantes que l'original signé Rose Bakery.

Je n'ai pas encore testé sa recette non plus, mais j'ai trouvé les explications d'Ellie de Tambouille et Pistouille, comment dire... Lumineuses ! On sent la pro derrière les commentaires sur les proportions de chaque ingrédient dans le fondant idéal.

Mais en défitive, ma recette à moi (depuis que j'ai laissé tomber celle de Juliette Binoche, 9 oeufs entiers !!! pas étonnant qu'elle fasse des cures de lavement ensuite... je n'invente rien elle l'avait dit dans le numéro de Elle dont elle était rédac'chef, d'où ses quatre fiches cuisine), toute classique, pas révolutionnaire pour un sou, et carrément pas régime non plus, c'est celle de ce fondant-là. Elle est tirée (encore et toujours) d'une fiche cuisine du magazine Elle, et la recette est celle de Carine Veyrat, chef pâtissier de La ferme de mon père à Megève.



Pour 6 personnes :

- 230g de chocolat noir corsé, dosé à 52% minimum de cacao (NB : pour moi, c'est soit le Nestlé dessert corsé, soit du Valrhona),
- 4 jaunes d'oeufs,
- 50g de sucre semoule (NB : j'ai utilisé du rapadura car je n'ai plus rien d'autre, et c'était parfait),
- 60g de farine (T80 pour moi, même remarque que précédemment),
- 50g de lait (j'avais seulement du lait de chèvre, et bien ça le fait aussi),
- 50g de crème épaisse (en fait moi je mets trois grosses cuillérées à soupe bien bombées),
- 125g de beurre demi-sel (la recette utilise 160g de beurre doux, mais j'en mets moins car je pense que je dois utiliser plus de crème fraîche).

Préchauffez votre four thermostat 150°C. Beurrez un moule à manqué, ou chemisez-le de papier sulfurisé. Perso, je préfère le papier sulfurisé, mais c'est vraiment par goût personnel. Coupez en morceaux grossiers le chocolat.

Travaillez les jaunes d'oeufs avec le sucre jusqu'au blanchiment. Incorporez la farine d'un seul coup, mélangez bien pour éviter les grumeaux.

Dans une casserole, faites bouillir le lait, la crème et le beurre ensemble. Hors du feu, faites y fondre le chocolat. Si besoin est, remettez un peu sur le feu, mais à feu moyen, en remuant toujours. Si jamais le ménage prend une consistance bizarre, sans cohésion, pas de panique, c'est que le mélange a trop perdu de liquide. Un petit peu d'eau ou de lait et le mélange redeviendra onctueux.

Versez le mélange lait - crème - beurre - chocolat dans la pâte jaunes d'oeufs - sucre - farine. Mélangez doucement (attention aux éclaboussures !) puis vigoureusement quand les deux appareils se sont bien mêlés. Versez l'appareil ainsi obtenu dans le moule à manqué et placez au four chaud. La recette prévoit 7 minutes de cuisson, honnêtement au bout de 7 minutes dans tous mes fours ce n'était jamais cuit ! Je compte 20 bonnes minutes de cuisson, à vous de voir avec votre four ce que ça donne.

Quand le dessus du fondant forme une légère pellicule, le gâteau est cuit, sortez-le du four et laissez-le refroidir à température ambiante. Servez à température ambiante. Il est encore meilleur le lendemain, après une nuit réparatrice au réfrigérateur !

dimanche 12 août 2007

Pesto de roquette et devinette !



De retour de vacances, une petite recette toute simple mais qui change agréablement du pesto a la genovese traditionnel, au basilic, ce pesto a la rucola, ou pistou de roquette. A servir avec des pâtes longues, type spaghettis, voire plates, comme les mafaldine, tagliatelle, fettucine. Cette recette est extraite du livre de cuisine "100 sauces pour les pâtes" dont j'ai déjà parlé sur ce blog. Si vous le voyez en librairie, n'hésitez pas, il regorge de bonnes recettes astucieusement classées selon les types de pâtes adaptées !

Pour 4 personnes :
- environ 200g de pâtes sèches (si vous servez en accompagnement, sinon 500 à 600g en plat principal),
- une botte de roquette (soit 50 à 75g),
- 50g de pignons, plus une petite poignée pour la décoration,
- une gousse d'ail,
- 50g de parmesan fraîchement râpé, plus la quantité que vous souhaitez pour le service,
- huile d'olive,
- une cuilérée à soupe de jus de citron,
- sel, poivre.


Mettez dans le robot tous les ingrédients (roquette, pignon, parmesan, ail, jus de citron) sauf l'huile d'olive. Mixez environ 30 secondes pour obtenir une purée grossière. Re mettez en marche le robot tout en ajoutant l'huile en filet (environ 8 à 10 cuillérées à soupe) pour obtenir une pommade grumeleuse. Ajoutez le sel et le poivre suivant votre goût. C'est prêt !


Il ne vous reste plus qu'à faire cuire vos pâtes, puis à mélanger avec ce pesto, et à servir parsemé de parmesan râpé et de pignons entiers. Si vous aimez le ptit goût piquant de la roquette, vous adorerez ce pesto !

Bon, et pour piquer votre curiosité, une petite devinette : qu'est-ce que cet arbre ? Indice : j'ai pris la photo dans le Sud-Ouest, près d'Agen (mais attention ne vous laissez pas trop influencer par la ville...).

jeudi 9 août 2007

Taguée par Lavande !

Me voici taguée par Lavande de Ligne et Papilles ! Chouette, j'ai toujours rêvé qu'on me demande de répondre à des questionnaires... Voici mes réponses à celui-ci :

Quelle est votre situation de famille ? En couple, et en "vie maritale" depuis 8 mois, après trois ans d'amours à distance. Pas d'enfants, mais un chat qui a 10 ans !


Quelle est votre date d’anniversaire ? le 8 mars - journée internationale de la Femme...

Vivez-vous en ville ou à la campagne ? Paris intra muros - la grande ville donc.


Quels métiers exercez-vous ou avez exercé ? Je suis statisticien - économiste, administrateur de l'INSEE. Actuellement mon poste c'est sous-directrice des synthèses statistiques et des revenus au ministère de l'agriculture et de la pêche (drôlement long à taper !)

Avez-vous des allergies ? Oui, à des médicaments : Bactrim (un antibiotique), paracétamol. Pas pratique au quotidien, mais je préfère ça à des allergies alimentaires.

Quelle est votre odeur préférée (pour les bougies, encens, produits pour le bain..)? L'iris pour mon parfum (Iris Silver Mist de Shiseido), la fleur d'oranger pour les bougies ou mon gel douche (et dans la pâte à crêpes !). Mes encens sont de la marque Kodo, une marque japonaise, ce sont des mélanges (un parfum par saison), sinon le ginko a une odeur très agréable. Je préfère l'encens japonais car il est pur, il n'y a pas de support, donc le parfum dégagé est vraiment celui de l'encens. J'aime aussi beaucoup les bougies Occitane, parfums pain d'épices, cannelle-orange. A Noël j'aime bien suspendre des oranges piquées de clous de girofle aussi...


Aimez-vous les sucreries ? Oui, mais mon péché mignon reste le fromage.


Si oui quelles sont vos préférées ? Les tartes aux fruits, les tartes aux noix, les wagashis japonais, le cheesecake, le fondant ou le risotto au chocolat. Quand j'étais petite c'était la Forêt Noire d'un pâtissier de Libourne, Lopez, mais ça m'a complètement passé !




Quels sont vos goûts culinaires? Je suis gourmande et curieuse de tout en matière culinaire. Mais on ne me fera pas avaler des insectes vivants, par exemple.

Quel genre de musique aimez-vous ? Les compilations que me crée mon Titi, grand fan de musique. Sinon, les sons naturels, tels que le bruit des vagues, le chant des oiseaux, le vent qui bruisse dans les branches, la douce musique de la scie du voisin (un intrus s'est caché dans l'énumération, sauras-tu le retrouver ?).

Quelle est votre couleur préférée ? Tous les bleus, et en particulier celui de l'aigue-marine.

Quelle est votre saison préférée? L'été ! Mais l'automne dans le Sud-Ouest, qu'on appelle l'été de la Saint-Martin, j'aime beaucoup aussi...


Collectionnez-vous un objet quelconque ? J'ai longtemps collectionné les timbres, les minéraux. Maintenant je n'ai pas vraiment de collection. Mais j'aime les sulfures par exemple (ces presse-papiers en verre avec des motifs floraux, spécialité de Murano).


Quels magazines lisez-vous? Elle, Télérama, Plongeurs international

Etes-vous abonné à un magazine ? Elle et Télérama !

Quel est votre style vestimentaire ? Je suis presque toujours en jupe ou en robe, bureau oblige, mais aussi parce que ça va bien à ma silhouette. Pas de tailleur (sur moi ça fait paysanne endimanchée), mais des matières fluides. Le soir j'aime montrer mes épaules. Mes marques préférées sont Claudie Pierlot (qui fait des petites tailles), Maje, Isabel Marant et Antik Batik ; plus Petit Bateau pour les tee-shirts et gilets (taille 12 ans). Je ne suis pas la mode car j'aime les vêtements basiques et je les garde de nombreuses années.

Pratiquez-vous une activité manuelle ? Le tricot, en général pour les bébés de mes proches ! Cela fait longtemps que je n'ai plus tricoté des tailles adultes.

Quelle est votre matière préférée ? A porter, le coton, l'alpaga, le cachemire. En cuisine, la silicone ! En décoration, le bois sombre, le béton, le verre, la pierre de lave.


Quel est votre animal préféré ? Le chat, notamment le mien, tous les félins... et beaucoup d'animaux marins : hippocampe, platax, beluga (photo de droite), raie aigle, raie manta, poisson-lune (photo de gauche). Je suis fascinée par les requins, ce sont des animaux incroyablement adaptés à leur milieu et qui n'ont d'ailleurs quasiment pas évolué depuis leur apparition il y a quelques centaines de milliers d'années. D'alleurs quand je nage je me "visualise" en requin pour nager plus vite (non je ne suis pas folle !).



Quels sont vos loisirs ? Natation et plongée sous-marine (de gauche à droite, piqués sur le net, banc de raies aigles, bancs de platax, requin pointe blanche de récif), vélo à l'occasion, à défaut jogging, cinéma, lecture, et blog bien sûr !





Comment décorez-vous votre intérieur? C'est Titi qui décore, couleurs écru et chocolat avec une touche de rouge sombre. Le rêve (un peu trop cher pour nous hélas) : des lampes et une table basse Isami Nobushi. Mais on a craqué depuis peu pour un très beau canapé épuré et contemporain.

Avez-vous une liste de cadeaux en ligne ? Non. Pourquoi vous demandez ça, vous voulez me faire un cadeau ???

Le détail en plus ? Ce qui me fait le plus plaisir dans la blogosphère, c'est d'avoir noué des liens plus personnels avec quelques blogueuses, hors blog, en fait. Même si recevoir des commentaires et compliments me fait plaisir, ce sont ces liens privilégiés que je préfère. En plus on se découvre des affinités avec des personnes qu'on n'aurait pas rencontré physiquement parce qu'elles habitent à l'autre bout de la France ou du monde... Et aussi j'apprécie de découvrir des super recettes chez d'autres, de modifier ma façon de cuisiner grâce à ces tours de main piquées à d'autres. Vive l'échange et le partage !

J'ai envie de passer la main à Loukoum de Beau à la louche, Peggy de Ma Dolce Vita, Jacqueline de Cuisine et Compagnie, Lolotte du Blog-notes, et Elodie Joy de Miss Cooklicot, parce qu'à part Lavande (voir ses toutes idées du jour pour l'apéritif), ce sont les dernières dont j'ai mis des recettes dans mes favoris !

Index : poissons, coquillages et crustacés

Les produits de la mer, c'est bon, en entrée ou en plat principal...

Hors catégorie : les makis originaux et variés
Hors catégorie : la sauce chien pour accompagner les poissons blancs

Calmars et encornets

Encornets citron, persil et ail
Encornets en curry au lait de coco

Crabe

Mille-feuilles de tourteau deux sésames, pamplemousse et concombre

Crevettes

Brochettes de poisson blanc et crustacés sauce persil - anchois - échalote
Ceviche de crevettes
Crevettes dhania Masala (Inde)
Salade vietnamienne aux crevettes et vermicelles de riz
Udon aux crevettes, coco et coriandre

Fruits de mer et poisson fumé

Salade de fruits de mer
Salade échalotes, pommes de terre et harengs
Salade géorgienne aux betteraves et harengs

Morue

Acras de morue antillais
Estofinado aveyronnais
Tatin poivron - brandade de morue - gingembre

Pétoncles et Saint-Jacques

Saint-Jacques vapeur gingembre et citronnelle
Tagliatelles encre de seiche et Saint-Jacques


Sardine, maquereaux et harengs

Amuse-bouche de hareng, céleri, pomme et noix en verrine
Chirashi de maquereau
Faites votre tarama vous-même !
Salade tiède de pommes de terre, échalote et harengs
Pudding de la Méditerranée
Roulés de sardines, pistaches, orange, à la sicilienne

Tarte aux tomates et sardines fraîches


Saumon

Terrine saumon oseille
Ceviche de saumon


Thon


Bricks au thon
Bricks aux pois chiche, thon, feta et basilic
Nouilles japonaises au thon frais, avocat et gingembre

Penne à la puttanesca
Pudding du Catalan
Rillettes de thon aux épices et au citron
Tarte thon-maïs

Autres (colin, lieu, merlan...)

Brochettes de poisson blanc et crustacés sauce persil - anchois - échalote
Ceviche de poisson blanc
Poisson blanc sauce oseille-cresson
Tempura de poisson blanc



Index : recettes végétariennes / au tofu / sans gluten

Dans cette rubrique vous trouverez mes recettes de légumes, à déguster en accompagnement ou en plat principal, mes recettes à base de tofu, mes recettes "faussaires" substituant des ingrédients végétaux à des ingrédients animaux, des recettes sans gluten, et des recettes adaptées aux personnes ne consommant pas de produits animaux. Ce qui n'est pas mon cas, mais j'essaie d'adopter une alimentation peu carnée en général.


Sans gluten, sans produit laitier, sans oeufs :

Aubergines à la turque

Beignets de légumes à l'indienne (pakoras)

Bolognaise végétarienne

Crème d'oignons doux des Cévennes (en remplaçant la graisse de canard par de l'huile neutre)

Salade d'hiver multivitaminée

Salade de lentilles tradition

Salade thaï ultra-fraîche

Soupe carotte, coriandre, gingembre

Soupe indienne aux lentilles et aux épinards

Soupe toute douce, au potiron, maïs et romarin

Soupe détox (légumes et épices)

Soupe glacée à la betterave et gingembre

Soupe pommes de terre et oseille

Soupe pomme de terre, mâche et cresson

Stoemp bruxellois (pommes de terre, poireaux, carottes)



Sans gluten, sans oeufs :

Crème de chou-fleur, cheddar et ciboulette

Pilau indien aux épinards





Sans gluten, sans produits laitiers :

Gâteau de légumes verts (épinards, bettes, poireau...)





Autres :


Cannellonis à la ricotta, aux tomates séchées et au basilic

Galettes de sarrasin chèvre-roquette-noix

Galette de sarrasin à la compotée de tomate et poivron et à l'oeuf

Gallo pinto


Index : oeufs et viandes (volaille, lapin,boeuf...)

A la maison on cuisine toutes les viandes, en privilégiant les volailles et le lapin, ainsi que les oeufs.


L'agneau et le mouton



Paquets de choux fourrés cuits vapeur

Tagine d'agneau aux coings et aux abricots secs



Le boeuf




Korokké (croquettes japonaises pommes de terre et bœuf)

Locro équatorien, mais à l'auvergnate

Paquets de choux fourrés cuits vapeur


Salade thaï ultra-fraîche au bœuf

Steaks à la vénézuélienne





Le canard

Bebek Betutu (canard fumé à la balinaise)

Bonbons de chou au foie gras

Canard mariné gingembre, miel et umébosis de Laurence Salomon

Foie gras de canard à la crème de coing

Garbure gasconne



Canard sauté au gingembre et champignons


Le jambon et le porc

Adobo de porc

Coquillettes primavera (jambon, fèves, artichaut)

Croque-monsieur de luxe

Feuilleté de filet mignon de porc au Laguiole

Makis originaux et colorés

Omelette catalane de Pâques

Phad thaï

Porc à la sauce aigre-douce


Salade de roquette, figues, jambon cru et mozzarella

Salade de Noël de Jamie Oliver

Tagliatelles au jambon de pays, au chèvre et à la laitue


Paquets de choux fourrés cuits vapeur

Râbles de lapin tapenade, lard et romarin

Rillettes de lapin

Salade de toutes les couleurs au lapin confit


Les œufs

Galettes de sarrasin chèvre-roquette-noix

Galette de sarrasin à la compotée de tomate et poivron et à l'œuf

Omelette catalane de Pâques

Soufflés au curcuma en pommes d'or

Soufflé au gorgonzola




La pintade



Le poulet et la dinde

Paquets de choux fourrés cuits vapeur

Poulet farci façon Thanksgiving

Poulet laqué à la japonaise, teriyaki



Wok de poulet, poireau, vermicelles bruns et noix de cajou


Le veau

Arancini siciliani

Osso bucco à la milanaise

Paquets de choux fourrés cuits vapeur

Ris de veau de mon papa


Je n'y ai pas mis mon Gros-Minet, que je menace pourtant parfois de préparer en civet quand il fait des bêtises ;-)